“J’ai vécu toute mon enfance dans la guerre. Avant qu’elle n’éclate et divise profondément la société libanaise, il régnait déjà un climat de méfiance entre voisins”, confie le Père Samih Raad. Le prêtre grec-catholique, aujourd’hui curé en Moselle, reste convaincu que “le Liban est plus qu’un pays, c’est un message de dialogue et de convivialité”.
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